Manchettes financières

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Plusieurs compagnies américaines continuent de publier d’excellents résultats cette semaine. Parmi celles-ci, Ford, 3M, Pepsi et Caterpillar se démarquent ! Le secteur privé devra remplacer le secteur public qui n’aura pas le choix de couper agressivement dans ses dépenses. Pour que l’économie continue de progresser, les compagnies doivent bien faire.

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La situation s’envenime au Moyen-Orient, principalement en Libye. Cela a créé du mouvement sur les marchés cette semaine. J’en reparle plus bas.

La confiance des consommateurs aux États-Unis augmentent en février pour atteindre son plus haut niveau depuis 3 ans. Elle doit encore augmenter par contre pour atteindre un certain niveau de confort.

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Les acquisitions se multiplient encore cette semaine. Les compagnies s’achètent entre elles. Elles ont de l’argent et elles mettent cet argent à profit. Tout cela est très bon pour le marché boursier mais moins pour l’emploi. Les compagnies coupent des emplois lorsqu’elles achètent leur concurrent. On entre dans une ère où le marché de l’emploi sera en transition rapide. On doit s’adapter !

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La banque du Canada maintient son taux directeur inchangé à 1 %. Donc pas de changement aux hypothèques à taux variable. Je ne m’attends pas à ce que la banque augmente ce taux avant le milieu de l’année 2011. Et il augmentera très lentement. Notre dollar est très fort présentement. Tant que les États-Unis n’augmenteront pas les taux, le Canada devrait demeurer très discret dans les hausses de taux.

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L’Irlande, le Portugal et l’Espagne annoncent des coupures de budget pour 2011. Tout cela était prévisible. Les coupures sont particulièrement importantes en Irlande. Est-ce que cela peut nous arriver ? Non, pas à aussi grande échelle. Par contre, ici aussi, en Amérique du Nord, les gouvernements devront couper dans les budgets.

Manchettes financières

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L’économie du Canada a cru de 2,0 % au deuxième trimestre. C’est lent mais ce sera comme cela pendant longtemps. La population vieillit et consomme moins. Un 2,0 % de croissance accompagné d’une hausse de la productivité est suffisant pour maintenir un marché boursier en vigueur.